A British-Algerian journalist has died after staging a hunger strike in protest against a two-year jail term for offending Algeria’s president in a poem posted online,
according to his lawyer.
Mohamed Tamalt était dans le coma depuis trois mois après avoir mené une grève de la faim. Amnesty International et RSF demandent l'ouverture d'une enquête indépendante sur les causes de son décès.
Un journaliste algérien, critique du pouvoir et condamné en juillet à deux ans de prison pour « offense au président de la République », est décédé dimanche 11 décembre. Mohamed Tamalt, 42 ans, avait entamé une grève de la faim le 27 juin, jour de son arrestation, selon l'organisation de défense des droits de l'homme Human Rights Watch (HRW). Amnesty International demande une enquête indépendante, approfondie et transparente sur les circonstances de la mort de Mohamed Tamalt.
Le journaliste algérien Mohamed Tamalt meurt en prison. Il avait été condamné à deux ans de prison pour « offense aux institutions et au président ». Il est mort dans des conditions floues, après une grève de la faim et trois mois de coma.
Algérie : mort d'un journaliste emprisonné pour "offense au président"
La mort en prison du journaliste et blogueur algérien Mohamed Tamalt incarcéré depuis le mois de juillet, qui choque en Algérien est largement rapportée dans la presse internationale. Avec une insistance particulière sur le fait qu'il a été poursuivi pour "offense au chef de l'Etat".
Mohamed Tamalt a été arrêté le 17 juin dernier à Alger. Il a été condamné à une peine de deux ans de prison ferme et 200.000 dinars d’amende par le tribunal de Sidi M’ahmed le 4 juillet pour « outrage à corps constitué » et « atteinte à la personne du Président ».
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